vendredi 7 décembre 2012

CHASSE A BRUX, VIENNE :

Une nouvelle fois, Gilbert LANCEREAU nous a concocté une réunion de chasse avec nos aigles dans son département, la Vienne. Nous sommes Sept des huit aigles qui volent à la chasse régulièrement en ce moment en France. Cette réunion permet de lier la vènerie, la chasse à tir et la chasse au vol, les trois modes de chasse en France. Le temps est assez beau les deux premiers jours. Plusieurs gibiers nous sont proposés : le lièvre, incontestable proie préférée de nos oiseaux, le chevreuil, qui est le but et le rêve des aigliers, le sanglier, gibier occasionnel, le renard, sans doute le plus adapté à l’oiseau, mais aussi le plus difficile à débucher.

Le samedi, nous partons pour une chasse en plaine pour y rencontrer des lièvres ; ils ne sont pas nombreux mais quelques uns se  montrerons. Cette chasse en battue ordinaire nous donne à choisir le sens de notre traque ; le vent, le relief, le couvert, sont tous autant d’éléments qui vont nous faire réfléchir à la façon de traquer la pièce de terrain. Si nous prenons vent debout, les lièvres sont à priori plus faciles à approcher mais aussi plus difficile à voler ; le lièvre s’appuie sur la terre et l’oiseau sur l’air ce qui l’oblige à voler avec la vitesse du vent en plus contre lui. Vent de dos, l’oiseau perd ses appuis et le contrôle à la prise est très difficile ; c’est pour cela que nous choisirons de traquer avec un vent latéral que nous retrouvons dans l’autre sens au retour. Quelques lièvres sont volés mais aucun ne sera pris ce matin là. Nous avons aussi vu quelques chevreuils très loin, à la dérobade, assez furtifs pour nous échapper.

L’après midi, une chasse proposée par un chasseur à tir nous est offerte ; des bois longs et étroits, des champs de chaumes, une succession de chaumes et de boqueteaux bien propices à lancer chevreuils et “lièvres de bois”, comme ils disent. La première traque nous offre un buisson creux. La deuxième, très grande, laisse partir en défaut deux chevreuils par les arrières non couverts. Deux autres sortent à la dérobade sur le côté sans qu’un  aigle ne le voie. Plus la traque descend, plus Sarembaï semble chaud. Soudain, une chevrette et son petit sortent en dessous de moi à une centaine de mètres. Je déchaperonne, Sarembaï se lance avec force et vole vers les deux animaux ; ils se dirigent bien sur vers le couvert et je vois qu’il ne reste que peux de distance pour Sarembaï pour couvrir son retard. Il font avec une grande détermination sur l’animal de tête et passe au dessus du petit ? je ne comprends toujours pas le choix qu’opère un oiseau en chasse :  est-ce la détermination du départ ? est-ce une faiblesse décelée ? Je ne sais pas. En tous cas, il entre dans le bois aussi vite que les deux animaux et manque de peux la prise. Le vole toutefois a été de toute beauté. Quelques minutes plus tard, un autre animal, ici un brocard, sort de la même manière ; je lance Sarembaï qui doit faire un demi tour pour rejoindre sa proie. Là encore il lui manque quelques mètres pour parvenir à prendre. De ce que j’ai appris des autres chasseurs, pas d’autres animaux n’ont été vu ; pour autant, 18 chevreuils et 4 lièvres sont comptés sortant de cette chasse. La traque suivante nous emmène vers une pièce de chaume de maïs de plusieurs dizaines d’hectares. Cette étendue semble extrêmement profitable au capucin. La pièce est prise par la gauche est je me trouve en caponnière à attendant le rabat. Rien ne sort de ce champs si prometteur.  Seul Jean-Yves vole sur quelque chose, au loin, d’un vol décidé, sur plus de 300 mètres, avec un superbe crochet à la fin pour entrer dans le bois derrière une ombre noire… Pas de prise, nous ne saurons donc pas ce qu’il a volé.

La soirée approche, le soleil décline, la fin de traque ne tardera pas ; tout à coup, quand plus personne n’y croit, un lièvre se lève dans les bottes de Ronnie, il déchaperonne et lance, mais l’aigle de Jean-Yves, sans chaperon, tire au poing qui lâche. Deux aigles se trouvent alors sur les talons du capucin. Celui de Ronnie fond et le lièvre saute à la verticale quand, en retombant, il se voit chargé par celui de Jean-Yves qui empiète fermement. Pas d’accident mais une fois de plus une mise en danger par un aigle sans chaperon. Il nous faudra à l’avenir, peut être décider de ne plus chasser le lièvre en plaine sans chaperon ? A voir, en tout cas, à réfléchir… Un peu plus loin, 1/4 d’heure après cette prise, Ari vole un deuxième lièvre qu’il coiffe magistralement. Belle prise ! belle conviction, bon vol… C’est son premier lièvre après 14 mois de travail avec cet oiseau prometteur.

Gilbert sonne la rentrée au chenil car la nuit tombe vite. Nous sautons dans les voitures  et nous nous rendons au relais de chasse pour la soirée. Aucun débordement, pas de dérapage,  sans doute le fait d’être entré dans le patrimoine immatériel de l’humanité nous aide-t-il à nous tenir sérieux ?  en tous cas, la soirée s’achève vers 10h30 et le lit du gite communal de Caunay nous accueille, et nous tombons rapidement dans les bras de Morphée.

Le dimanche matin, petit déjeuner pris, nous rejoignons Brux. Nous sommes invités dans le parc voisin pour attaquer les chevreuils qui nous étaient interdits l’an dernier. Comme tous les matins, Gilbert montre la carte aux chasseurs, aux invités nombreux, pour qu’il n’y ait pas d’erreur ni d’un côté ni de l’autre. Je pars avec Ronnie sur le bas de la chasse, derrière les traqueurs ; cette situation convient à Sarembaï qui est chaud comme jamais. La battue est lancée, les traqueurs, armés de bâtons, effrayent le gibier caché devant eux. Tout a début, quatre animaux sortent du bois et sont volé par Romuald qui prend rapidement le plus petit de la bande. Le combat est rapide, l’animal est coiffé avec force rapidité, il est aussitôt servi par son maitre. Je crois à une menterie quand il m’annonce par téléphone interposé sa prise ; aussi rapidement après le début de traque cela me semble une supercherie… La traque est longue et, après avoir rejoint Ronnie, un brocard sort à son tour du bois à quelques 250 mètres de nous ; il monte vers la ligne d’aigliers placés sur la route des tilleuls. Ari vole, son aigle attaque mais au moment d’empiéter, il refuse… Dommage. Le chevreuil vire à ce moment sur sa gauche et redescend vers nous en longeant la ligne du haut. Je déchaperonne sans conviction Sarembaï qui entreprend directement l’animal. Son vol l’emmène assez haut en montant légèrement contre le vent, derrière le chevreuil, puis il prend la direction d’attaque. A ce moment, en même temps que Ronnie me dit de courir, je pars à toutes jambes vers la supposée prise que je ne peux pas voir, derrière la colline. Aurélien court lui aussi, il a une petite avance sur moi. Sarembaï a empiété le brocard à la gorge et la poitrine pour grimper rapidement vers la tête qu’il saisi avec force. Un combat déséquilibré s’engage alors entre les deux animaux, l’un pour sauver sa vie, l’autre pour la lui prendre. Aurélien arrive sur la prise et immobilise le chevreuil ; j’arrive dans les secondes qui suivent et je sers rapidement l’animal. Superbe vol, détermination sans faille, courage hors du commun, Sarembaï nous étonne par son sens de la chasse. Tous les visiteurs sont ébahis par ce vol et cette prise. Aussi violente que soit cette action, aucun avis négatif ne vient ternir cette scène de chasse. Certes, le sang est présent, surtout quand je charge le brocard sur mon dos pour rentrer à la voiture. J’ai besoin de ce moment d’intimité, mon aigle sur le poing, tranquille, apaisé, le chevreuil sur le dos, lourd et inconfortable. Bien évidemment, Sarembaï est nourri sur sa proie avant de partir… pour lui la journée est terminée. La chasse continue l’après midi Mais rien d’autre ne sera pris. Nous ne verrons que peu de gibier et le crachin commence à gêner. Nous rentrons au gite heureux de cette journée chargée et le repas en commun nous donne du temps pour refaire le monde, mais cela tout le monde connait…

Lundi matin, Gilbert nous emmène sur une plaine déjà faite le samedi, mais cette fois ci avec moins de monde et un peu plus de sérieux. Nous lançons la plaine vent de côté. Un lièvre me art dans les 30 mètres, je le vois à 80 mètres et je vole sans aucune chance. Je récupère Sarembaï. Emilie vole le même lièvre dans la montée sans plus de chance. Nous reprenons le reste du champs de haut en bas sans voir la queue d’un capucin. Les chevreuil vus l’avant veille, nous contournent vent debout, comme s’ils savaient que nous sommes impuissant face au vent. Nous ne pourrons pas les voler. Une traque prochaine nous emmène dans un fourré et un champs de joncs jamais chassé. Le garde nous dit y connaitre huit ou dix lièvres et quelques chevreuils, mais à coup sur des sangliers… Un grand intérêt s’empare de nous. Nous entrons et nous plaçons comme convenu, mais une fois de plus, la chasse nous offre un buisson creux. Pas de chance pour cette fois ci… Noues rentrons déjeuner et l’après midi, la pluie nous empêchera de repartir traquer. Nous nous saluons et nous remercions les chasseurs qui nous ont invités une fois de plus.

Nous espérons bien entendu revenir vers Gilbert, incroyable organisateur. Nous n’avons pas été gêné par les visiteurs toujours sérieux, bien encadrés. Les équipes de traqueurs étaient courageuses, efficaces, motivées… Merci à toutes et tous. Les “Aigles de France”.   

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Etude sur les faucons :

http://www.mefrg.org/images/falco/falco40.pdf

mardi 7 février 2012

Breizh en vol, les Ailes de l’Urga, en chasse au Puy du Fou :

Mon ami Ronnie Broos en Ecosse, chasse extrême :

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Sept aigles royaux en chasse dans le Marais

 

05/02/2012 05:46

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Vendredi et samedi, une chasse un peu particulière s’est déroulée dans les conches du Marais poitevin : sept aigles royaux ont traqué le chevreuil.

Les six aigliers de France et un venu de Belgique étaient au rendez-vous à la scierie de la Garette.

Les six aigliers de France et un venu de Belgique étaient au rendez-vous à la scierie de la Garette. - (Photos NR, Jean-André Boutier)

> Voir la vidéo

On ne compte en France que six aigliers chasseurs et ils étaient tous dans le Marais poitevin vendredi et hier samedi, rejoints par un septième en provenance de Belgique. Pour rien au monde ces passionnés n'auraient manqué ce rendez-vous si particulier, dans un cadre exceptionnel et selon une méthode unique. Car l'Acca de Sansais-la-Garette est la seule en France à disposer du droit de chasse au chevreuil à l'aide de rapaces depuis des barques.

Dans la brume glaciale qui recouvrait le marais, vendredi matin, une cinquantaine de personnes avaient décidé de braver les éléments. Les sept chasseurs, bien sûr, mais aussi des passionnés et des curieux. Au sol, des « traqueurs » étaient chargés de débusquer les chevreuils (voire quelques renards) tandis que les aigliers laissaient leurs majestueux compagnons s'élancer vers leurs proies. En effet, c'est bien l'aigle qui, une fois les yeux débarrassés de son capuchon, décide de cibler un animal. Ensuite, il faut aussi que la zone soit suffisamment dégagée car ce grand rapace pouvant atteindre 2,50 m d'envergure ne peut pas évoluer entre les branches.

Les oiseaux choisissent eux-mêmes de démarrer sur une proie

Lorsqu'il décide d'attaquer, l'aigle se laisse fondre sur sa proie et la couvre de ses ailes. Le chasseur doit alors faire le plus vite possible pour aller « servir » le gibier, à l'aide d'une dague. « Vendredi matin, explique Yves Garcin, l'un des organisateurs de cette chasse, nous avons bien vu quelques chevreuils mais ils se sont dérobés et se sont retrouvés un peu trop loin des aigles. Il y a tout un travail de rabattage du gibier et nous ne pouvons pas utiliser de chiens car cela distrairait les aigles. »

Quant à Jean-Louis Liégeois, le président de l'association des aigliers de France (mais aussi responsable du spectacle de fauconnerie du Puy du Fou), il ne cachait pas son bonheur de venir chasser dans le Marais poitevin : « En plus de ce cadre exceptionnel, nous avons un temps magnifique et c'est toujours un plaisir immense de voir nos aigles voler et attaquer, même lorsque l'attaque ne se solde pas par une prise ». Hier soir, au son des cors de chasse, les honneurs étaient rendus aux aigliers. La journée a été faste avec un chevriard (14 kg) ainsi que trois ragondins au tableau.

nr.niort@nrco.fr

lundi 6 février 2012

Merveilleuse journée à Chenillé-Changé au Haut Rocher chez les Rougé :

Cette journée c’est vue programmée assez rapidement : Foulque JUSTEAU me téléphone il y a quelques mois pour me dire que l’ami d’un ami souhaiterai organiser une chasse au chevreuil avec des aigles, en ayant entendu parlé lors d’une chasse à courre. Je n’ai pas pu avoir Foulque rapidement et je l’ai rappelé il y a une ou deux semaines. Foulque me passe le numéro de téléphone de Pierre De ROUGE que je contacte rapidement. Nous trouvons une journée qui vient tout pile le lendemain de deux jours de chasse dans le marais. Rendez vous est pris.

Les deux jours de chasse dans le marais à SANSAIS ont été organisés par Yves GARCIN, qui prend la suite de la présidence de la société de ce magnifique village ; particularité de cette chasse, il faut se rendre sur les parcelles en bateau (nous sommes dans le marais mouillé). Organisation très soignée, accueil des chasseurs à tir (qui ont gardé ces deux jours spécialement pour nous), fanfares des sonneurs du marais, les oiseaux sortent de leurs boites et sont présentés aux curieux, chasseurs, conjointes et conjoints. Le départ pour la chasse est sonné, tout le monde monte en bateau, il fait -6°, les consignes sont strictes.

La première traque laisse sortir quelques animaux qui se déroberont rapidement. Le casse-croute est organisé par la société qui nous accueille, le froid reste cinglant. La journée va nous proposer quelques vols pour chaque oiseau mais pas de prises. Le soir, un repas en commun nous permet de parler aux chasseurs à tir de notre mode de chasse et de notre passion. Il faut nous coucher assez tôt car demain il faut être en place à 9h30.

Le rendez-vous du deuxième jour se déroule comme la veille René MARTIN donne les consignes, Yves remercie les participants et je présente la chasse au vol.

Nous chassons la matinée et Sarembay prend son premier chevreuil de l’année, après un vol de 250 m sous les yeux ébahis de Gilbert LANCEREAU, à deux semaines de nouer la longe. Après le casse-croute, Romuald et Yalla, Ari et Ari, prennent chacun leur ragondin, et Sarembay prend aussi un ragondin. Jahnat Khan ne prendra pas mais elle fera deux beaux vols (elle est introduite depuis seulement deux semaines). Le jeune aigle d’Emilie promet beaucoup, bon coup d’aile, grosse envie de chasser… Celui de Christian devait être un peu en dessous ;  ces deux jours l’ont fait un peu souffrir mais çà va revenir (l’aigle de Christian pris un chevreuil il y a quatre semaines dans le Maine et Loire, c'était son premier). Ayko, l’aigle de Jean-Yves, lui pose quelques problème de comportement, elle siffle, glatît, souffle, et pousse des cris qui semblent être de la détresse, pourtant elle attaque correctement sans pour autant prendre pour l’instant. Les chevreuil n’ont pas l’air de l’encourager mais “çà va venir”. La journée se termine dans la bonne humeur avec un petit café avant le départ. Un grand MERCI aux chasseurs de SANSAIS qui nous offrent vraiment une chasse exceptionnelle.

Le lendemain, nous nous levons stupéfaits : la neige recouvre la campagne avec un manteau de 10 cm d’épaisseur ! J’essaie tout de suite de sortir ma voiture qui ne décolle pas du trou où elle est… Je préviens Pierre De ROUGE que nous aurons vraisemblablement du retard. Nous devions avoir rendez-vous vers 10h30, nous arrivons à CHENILLE CHANGE au château du Haut Rocher à 12h30… Tout le monde nous attend, la famille Rougé, des amis à eux, de la famille, tous ont mangé et nous attaquons les plateaux de charcuterie à notre tour. Vers 13h30, nous sortons les oiseaux pour une présentation collective. les appareils photos crépitent. Olivier de Rougé nous fait attaquer le “bois carré” mais les animaux étaient sortis avant notre arrivée. Les petits bois se succèdent les uns aux autres ; derrière le bois de sapins, Jean-Yves fermait l’entré sur l’étang, je me trouvais e, haut de la bouchure et Aurélien fermait le bois sur la plaine. Dès le début le la traque, un chevreuil est annoncé ; il débuche dans les bottes à Aurélien qui met Jahnat-Khan sur l’aile. Elle entreprend sérieusement ce brocard assez  fort sommes toutes. Le vol est sur et puissant mais contre un vent soutenu de trois quart, elle manque de fond pour aboutir. Nous ne reverrons pas d’animaux sur la fin de traque, l’oiseau d’Emile (qui n’est pas encore baptisé, cela se fait le jour de la première prise, coutume Kazakh) entreprend un chevrillard  qu’il va manquer de très peu. la traque suivante nous fait contourner l’étang je me place sur la route dans l’angle du bois qui va être traqué. Jean-Yves tient le bas, Christian passe de l’autre côté avec Emilie et Aurélien passe sous le bois. La traque est lancée et  rapidement, un chevreuil est annoncé. Il débuche à 200 mètres de moi sur la gauche, je déchaperonne, Sarembay entreprend face au vent en, montant calmement. Il vole au dessus du chevreuil sans attaquer quand deux autres animaux débuchent. Ils passent sous Sarembay qui se concentre sur le deuxième, il l’entreprend  en fondant sur lui mais pas comme d’habitude, il se glisse en faucon sur le côté de l’animal est empiète directement à la tête ; il est à ce moment à plus de trois cent mètres de moi. La course effrénée a démarré depuis un moment et nous sommes rapidement sur l’animal que je sers immédiatement. Les gens qui ont vu la scène sont sidérés de la vitesse et le la dextérité qu’il a fallu à Sarembay pour conclure. Cet oiseau me surprend de jour en jour. Son courage est incroyable. Emilie accrochera un chevrillard aussi dans la même traque mais sans aller jusqu’au bout, mais il se rapproche… Nous rentrons au château, il est 18h00. Nous dépouillons le chevrillard  après l’avoir présenté à tous. Un dernier verre et quelques petits cadeaux aux hôtes nous font disloquer vers 19h00.

MERCI à la famille De Rougé qui nous a promis de remettre cela l’an prochain tant les émotions ont été collectives et grandes.   

Ces quelques images vous montreront toute la joie autour de nos oiseaux…

 

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