vendredi 30 décembre 2011

Un peu de retard pour cette parution trouvée sur le net :

Quatre fauconniers au chevet des rapaces

Konkachila, condor des Andes né et élevé au zoo de Buenos Aires, va retrouver sa liberté le 4 septembre prochain. DR

Konkachila, condor des Andes né et élevé au zoo de Buenos Aires, va retrouver sa liberté le 4 septembre prochain.© DR

Ce lundi, deux professionnels du Puy du Fou partent en Argentine assister à la remise en liberté de deux condors des Andes. En octobre, leurs collègues iront observer les vautours sud-africains.

Aujourd'hui, Bénédicte Merlet et Christophe Gaborit, deux fauconniers du Puy du Fou, s'envolent pour l'Argentine. Le 4 septembre, ils participeront à la réintroduction de deux jeunes condors des Andes dans leur milieu naturel, dans les montagnes de Paileman (Río Negro).

L'espèce avait disparu de cette région il y a plus de 170 ans. Grâce à la fondation locale Bioandina Argentina, qui a lancé le programme de conservation « Le retour du condor à la mer », 24 rapaces ont déjà retrouvé leur région d'origine.

Le Puy du Fou soutient financièrement la fondation depuis 2007. Cette année, 10 000 € ont été versés à Luis Jacomé, le responsable de Bioandina Argentina. C'est la première fois que des fauconniers du Puy du Fou se rendent sur place. Ils y resteront quinze jours.

Pour Bénédicte Merlet, « c'est une véritable aventure. Je suis à la fois ravie et fière de voir que la fauconnerie ouvre ses actions de conservation ». Elle a joint par téléphone ses homologues argentins, « ils nous attendent avec impatience ».

Une cérémonie ancestrale

Christophe Gaborit et Bénédicte Merlet s'apprêtent à vivre une journée hors du commun, le 4 septembre. La remise en liberté des condors est en effet précédée d'une cérémonie ancestrale, avec l'intervention de chamans.

« Bénédicte et Christophe emportent des plumes de condors du Puy du Fou, car tout le monde en jette dans la montagne avant de relâcher les rapaces », précise Jean-Louis Liégeois, le directeur de l'Académie de fauconnerie du Grand Parc. Ensuite, les femelles Konkachila et Ullpu goûteront à leurs premiers instants de liberté dans le ciel argentin.

Du 4 au 14 octobre, deux autres fauconniers du Puy du Fou rejoindront l'Afrique du Sud pour observer les vautours, menacés par des lignes électriques établies sur leurs zones de nidification.

Jean-Louis Liégeois et Thierry Bouchet aideront un groupe sud-africain à poser des balises sur le dos de dix rapaces, afin de mieux connaître leur vie quotidienne. Ils participeront ensuite à une conférence mondiale sur la disparition des vautours, à Kimberley.

Journée internationale

Plusieurs espèces de vautours sont en effet menacées d'extinction dans une dizaine de pays. Pour sensibiliser la population à ce fait inquiétant, une journée internationale sur la disparition des vautours sera organisée le 5 septembre. Le Puy du Fou a décidé de s'associer à cette manifestation.

Le week-end prochain, un stand présentera la situation des vautours dans le monde près du site du Bal des Oiseaux Fantômes. Des petits bracelets « Sauvons les vautours » seront mis en vente pour 1 €. La somme récoltée sera intégralement reversée au groupe de travail sur les vautours d'Afrique du Sud.

Un article et une émission sympathique :

http://www.rfi.fr/emission/20110924-2-reportage-decouverte-rapaces-fauconnerie-puy-fou

ADJC Vendée :

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Accueil / La vie des Assos / AJC85 : dans les coulisses de la fauconnerie

AJC85 : dans les coulisses de la fauconnerie
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Écrit par Administrator

Mercredi, 27 Juillet 2011 14:21

Une Association de Jeunes Chasseurs est également pour ses adhérents la possibilité d'accéder de façon privilégiée à des territoires ou de rencontrer des spécialistes. C'est ce qui s'est notamment passé en Vendée, avec un accueil tout particulier au Puy du fou pour les jeunes de l'ADJC85.

Le 11 juin 2011, les jeunes chasseurs de Vendée ont eu l’occasion de découvrir le monde de la fauconnerie. Pour ce faire, le rendez-vous était donné en fin de matinée à l’Académie de fauconnerie du Puy du Fou. Arrivés sur place, M. Jean-Louis LIEGEOIS, Directeur de l’Académie, nous a parlé de la fauconnerie et plus spécialement de la chasse au vol en nous indiquant les oiseaux utilisés pour ce mode de chasse, notamment, la buse de Harris, l’autour ou encore le très attendu aigle royal !

Après cet exposé, les jeunes de l’Académie nous ont montré leur spectacle de fauconnerie. Nous avons ainsi pu admirer beaucoup d’oiseaux en action, dont des milans (environs 70), des hiboux grand-duc, des faucons, des aigles royaux, des chouettes, des buses de Harris, etc.

Une fois le spectacle terminé, nous avons assisté au rappel des oiseaux, quelque peu laborieux pour les pélicans qui, avec le vent, s’amusaient en altitude.
Suite à cela, nous avons déjeuné en compagnie de M. LIEGEOIS et de Marco, un des fauconniers annuels de l’Académie, l'occasion bien sûr de parler chasse.
Puis nous avons visité les volières avec tous les poussins de l’année. Cette sortie nous a permis de voir pas moins de 300 oiseaux de 55 espèces différentes !!!

L’ADJC 85 tient à remercier très chaleureusement M.LIEGEOIS pour son accueil et pour sa disponibilité pour cette journée très enrichissante et inoubliable.

Mise à jour le Lundi, 14 Novembre 2011 21:49

Le mois de juin est traditionnellement celui de la reprise d'activité pour les équipages de vènerie sous terre. Les blaireaux n'ont qu'à bien se tenir, les pelles et pioches sont de sortie !! L'ADJC 85 a offert la possibilité à ses adhérents de découvrir ce mode de chasse ... &l ...

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» Jeunes chasseurs en canoë

» Découverte vènerie sous terre en Vendée

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» Premières sorties en Vendée

» Vendée : un partenariat FDC / ANJC concluant

bandeau-chevreuil.jpg

Les brèves

Et la bécasse ?

La mordorée est arrivée ! Nous vous rappelons l'importance de participer à la récolte des ailes organisée par le Club National des Bécassiers.
Rien de plus simple !
Contactez la section CNB de votre département (coordonnées sur leur site internet) pour connaitre le protocole exact à respecter et obtenir les enveloppes dédiées.
Puis à vous de jouer !!!

Une journée "énorme" !

Des petits veinards de l'AJC41 (Association des Jeunes Chasseurs du Loir et Cher) ont eu la chance de passer une journée avec Sébastien Amiez, Abdelatif Benazzi et Christophe Moreau, et ce ni sur des ski, ni avec un ballon ovale ou sur un vélo ... mais à la chasse !!!
La preuve en images.

Devenir technicien cynégétique ?

Le CFPPA de Meymac-Neuvic en Haute-Corrèze ouvre, à partir de février 2012, le Certificat de Spécialisation Technicien Cynégétique, en formation continue.
Pour tout renseignement : 05-55-46-02-00 ou par mail.

Qui est en ligne ?

Nous avons 9 invités en ligne

SPECTACULAIRE !!!

http://youtu.be/oT-Ywtf23ho

Au Kazakhstan :

http://youtu.be/wlrxhRvwozI

FILM DE MELO EN REPUBLIQUE TCHEQUE :

http://youtu.be/9sG5tBRpBHk

http://youtu.be/m89lbzWODXE

http://youtu.be/aEnSPYsiikY

http://youtu.be/KH9VQqC39sE

mercredi 27 avril 2011

Nous y sommes ...par Fred Vargas

Nous y voilà, nous y sommes.Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal.Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance, nous avons chanté, dansé. Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine. Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu. Franchement on s'est marrés.Franchement on a bien profité.Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.Certes.Mais nous y sommes.A la Troisième Révolution.Qui a ceci de très différent des deux premières ( la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.Oui.On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau. Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).Sauvez-moi ou crevez avec moi.Évidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux. D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance.Peine perdue.Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, ­ attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).S'efforcer.Réfléchir, même.Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde. Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.Pas d'échappatoire, allons-y.Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie ­une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut-être.A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore. Fred VargasArchéologue et écrivain
>

vendredi 25 février 2011

Un bien joli poème, une belle leçon…

Monsieur Le Président, merci de lire ce

  message:



Un p'tit bonheur sur une page,

Une douceur... pour l'Education Nationale.



Je le confie à la toile,
La grande toile du progrès,
Afin qu'il tisse les voiles...
De la solidarité,
Et qu'il rayonne aux ondes...
De l'humanité.
Je suis Professeur des Écoles
Dans un petit village de l'Eure,
Trois cents âmes y demeurent,
Et vingt-six élèves à l'école...
Une classe, dite « unique »,
Mais cinq cours, dits  multiples...
Dans cette école une chance,
Un p'tit morceau de bonheur,
Qui s'écrit avec ces trois lettres :
Employée de la Vie Scolaire... .
Pour l'Education Nationale,
Un p'tit bonheur, c'est pas banal,
Un léger baume sur le coeur
De cette Grande Dame
Un peu... bancale !
Notre bonheur, c'est Géraldine,
En silence elle  participe
A la guérison d'la Grande Dame...
Elle est... une Valeur Ajoutée,
HUMAINE rentabilité,
Et c'est du bonheur... assuré !
Dès le matin, elle s'active,
C'est sur le net qu'elle s'incline
Les courriers, les notes de service,
Toutes les infos de l'inspectrice,
Et celles de l'Académie....
Mes mots notés au brouillon,
Les compte-rendus de  réunion,
Tapés, imprimés, photocopiés,
Enveloppés, adressés, timbrés,
Prêts à être distribués...
Encadrés, les derniers dessins des CP,
Affichés, sinon... à quoi bon dessiner ?
Un CM vient montrer son texte sur le musée,
Elle l'aide à le recopier, à taper sur le clavier..
Afin de ne pas gêner, le travail commencé,
Un autre enfant vient finir avec elle l'exercice,
Elle explique et décortique,  redonne de l'énergie...
Rangée la bibliothèque,
Notés les livres prêtés,
Elle prépare la maquette,
La une du journal scolaire...
Ah! Notre petit journal
« Magique », ils l'ont appelé
Quel travail de fourmi,
J'y passerai......des nuits ?
Sonne la récréation, une mi-temps pour souffler,
Elle me rejoint, souriante, à la main nos deux cafés,
Quelques chaudes gorgées, entre... deux conflits à régler,
Des solutions à trouver, des mots à reformuler,
Une écorchure à soigner, une blessure à consoler...
Et puis... c'est reparti !
Sur les chemins de la connaissance,
Vaincre ainsi sans cesse l'ignorance,
Avec labeur, effort, sérieux,
S'ouvrir l'esprit, être curieux.
Ne pas oublier l'insouciance,
De tous ces êtres en enfance,
La bonne blague !... On la mettra dans le journal,
Les bons gags, et les rires, c'est vital !
Dans les pots
Les peintures sont bien préparées,
Quatre enfants sur un chevalet,
Deux à l'ordi pour recopier,
Les autres en dessin sur papier,
...Sans elle, jamais...
Ce ne serait si bien géré.
Le soir, coup de fil...
C'est  Géraldine,
A sa voix, je perçois,
Une blessure qui abîme...
Ecoute, me dit-elle... c'est à pleurer !
Du « Pôle Emploi » j'ai reçu... un imprimé,
Dans quelques semaines, c'est marqué,
Votre contrat est terminé....
Ils me demandent ce que j'ai fait,
Pour trouver un futur emploi..
Sa voix se fêle... "J'ai..un emploi ! »
Ils me demandent ce que j'ai fait,
pour me former, pour m'insérer,
Sa voix se gèle.... puis accélère: « Je.... suis formée,
depuis trois ans, j'me sens utile, insérée et c'est varié,
pas bien payé, mais... j'veux rester ! »
Sa voix s'étrangle... c'est à pleurer...
Ils me demandent mes compétences
C'que j'ai acquis, que vais-je répondre ?
Il y a l'espace... d'UNE LIGNE
UNE LIGNE..... mais tu te rends compte !
J'ai honte, honte... il aurait fallu UNE  PAGE
Au moins UNE PAGE pour répondre,
J'ai honte, honte... pour notre Grande Dame
Pour ceux qui l'ont créée, l'ont fait évoluer,
Qui a tant appris aux enfants,
Qui a tant encore à leur apprendre..
Et Géraldine ???
On n' lui dira même pas MERCI
Bien sûr, pas de parachute doré,
Et même pas d'indemnité
Ils lui précisent... Oh!..comme ils disent
D'étudier ses droits... pour... le R.M.I.
Elle a raison... c'est à pleurer...
Alors qu'on demande chaque jour,
A nos élèves de dire « Bonjour »
De dire « Au revoir » et.... « Merci »
De s' respecter, d'être poli
Comme vous dites, Monsieur Sarkozy...
Que vais-je dire, à la p'tite fille,
Qui l'aut're jour, près de moi, s'est assise,
Et, tout fièrement, m'a dit :
« Tu sais, Maîtresse, moi, quand  j'serai grande,
J'irai au collège, comme mon grand frère,
J'irai au lycée, j'passerai mon bac,
Et je ferai... comme Géraldine ! »
Je sursaute... Mon coeur se serre...C'est à pleurer.
C.Picavet
Professeur des écoles à l'école des Livres Magiques
Saint-Grégoire du Vièvre (Eure)
En hommage à toutes les Géraldine, Florence, Sabrina,
Laurence,Elodie,
à tous  les Philippe, Sébastien, et bien d'autres qui ont valorisé
mon travail, et participé à la guérison d'la Grande Dame...
qui est encore bien malade...
Je ne crois pas à la peur, je crois à la force et à la magie des
mots,
Et pour garder notre bonheur, il suffirait de quelque Euros..
Quel patron, quelle entreprise, après trois ans de formation,
Jetterait son salarié, pour prendre un autre, recommencer ?
Quel jardinier, quel paysan, brûlerait sa récolte mûre, après
avoir semé, soigné ?
Je n'ai pas fumé la moquette
Je veux seulement que l'on arrête,
De prendre les gens pour des pions,
Qu'on arrête de tourner en rond !
Torpillé le « Chagrin d'école »
En mille miettes de BONHEUR !
En l'honneur de tous ces p'tits bonheurs..
INONDONS LE NET
les amis, les décideurs,
les chômeurs, les travailleurs,
les directeurs, les inspecteurs,
employés et professeurs,
députés, ministres,
r'm'istes ou artistes,
chanteurs, compositeurs, rapeurs, slameurs,
radios, journaux, télés,
et à tous ceux qui sont... parents... d'un enfant...
enfin à chaque être humain de ce pays
qui j'espère un jour dans sa vie,
a bénéficié d'un peu de bonheur,
de cette Valeur Ajoutée
HUMAINE rentabilité,
dans le giron de la Grande Dame.
P..S : Ironie..... A la rentrée, c'est presque sûr
Notre petite école rurale
Sera dotée d'une Valeur Matérielle Ajoutée,
Des fonds ont été débloqués,
Huit ordinateurs et un tableau interactif
Une « classe numérique »
Nous serons à la pointe du progrès ! Et pour cela, je serai
formée !
Mais, qui m'aidera à installer, et à gérer,
sans  Valeur Humaine Ajoutée ? > > >
A LIRE, PUIS A TRANSMETTRE merci
Ce n'est pas la 1ère fois que l'Education Nationale, autrement
dit l'Etat, se déshonore !!   > > >  > > > Et le ministre qui parle de
la réussite de tous !!!
A faire suivre le plus possible.

lundi 31 janvier 2011

vendredi 28 janvier 2011

Trouvé sur une recherche Google, par hasard…

Les Aigles de Château-Thierry : un bien mauvais traitement

Les Aigles de Château-thierry : un bien mauvais traitement

Tandis que le climat continue de se tendre au sein de la majorité municipale, qu'émergent l'une après l'autre petites et grandes affaires, que se poursuivent disgrâces et chasses aux sorcières, arrêtons nous quelques instants sur le dossier des Aigles de Château-Thierry.
Ce projet amené et défendu par le fugace Frédéric Bardoux court les plus grands risques d'enlisement voire d'échec. Les Aigles risquent hélas de rater leur envol. Qui fait courir de tels risques sinon la municipalité elle-même par les pratiques de gestion des dossiers qui est sa marque de fabrique; pas de concertation ni de débats, manœuvres et précipitation, annonces prématurées,  coups politiques, coups de gueule,  refus de respecter les procédures....  
La privatisation partielle du vieux château pour une activité présentée comme un élément d'attractivité de la ville imposait à tout le moins une vraie concertation avec les acteurs du tourisme et de la culture, les archéologues, les défenseurs du patrimoine mais aussi avec toute la population qui aime ce site et sait en profiter. Elle imposait le respect des procédures contraignantes des permis de construire et des installations classées qui demandent au moins 6 mois d'instruction et le bouclage du plan de financement ( région, département, CCRCT, Europe...) qui est loin d'être assuré malgré un coût d'objectif de près de 1million d'Euros. 
Le maire tempête et s'agite pour que la première représentation ait lieu à la date du 1er juin qu'il a annoncée publiquement, promise à une entreprise en difficulté laquelle a cru qu'elle pouvait installer armes et bagages à Château-Thierry alors que rien n'est prêt: des Aigles dispersés, en partie logés dans des conditions précaires et inadaptées, aigles qui  devront reprendre un entraînement collectif avant toute représentation , des installations dont l'achèvement demandera encore de nombreuses semaines. Et surtout une insécurité juridique majeure puisque ni l'autorisation d'exploiter ni le permis de construire ne sont à ce jour pas délivrés alors qu'elles exigent des procédures d'enquête publique longues et rigoureuses.
En clair ce projet pourrait être compromis par la manière même dont il est (mal) traité, comme beaucoup d'autres.

Dimanche 16 Mai 2010

Dominique Jourdain

mardi 11 janvier 2011

La Fauconnerie : célèbration de sa reconnaissance par l'UNESCO

Colloque au parlement Européen le 19 janvier 2011 sur la reconnaissance de la fauconnerie au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO.
Intervention de la Commission Européenne, de l'IAF, l'UNESCO et la FACE

http://www.face.eu/com_news-fr_falconry_celebrates_UNESCO.htm

lundi 3 janvier 2011

Un bon moment de bonne musique :

Encore des abrutis qui nous ferons surement perdre notre agrément UNESCO :

http://www.toutypasse.com/recherche-rapace-c170a765958p1

http://www.toutypasse.com/fauconnier-recupere-vos-rapaces-c170a539163p1

Voici la réponse que je leurs ai faite :

Je ne sais pas comment une forme de Harris peut tuer son mâle ; sans doute avait elle trop faim ? On ne peut pas se permettre de telles demandes sur des sites qui vendent et donnent n'importe quoi à n'importe qui. L'agrément UNESCO que nous venons de recevoir peut tomber à tout moment et ce genre de dérapage en serait une raison. Quand au grand soin que vous allez prendre pour une deuxième buse qui va mourir 100 sur 100  vous ne l'aurez pas de notre réseau. Je n'aime pas les gens comme vous, mauvaise année. J.L.